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vendredi 29 novembre 2013

La CNT 21 présente ... "My Makhzen And Me" de Nadir Bouhmouch mercredi 4 décembre 2013 aux Tanneries.


 La CNT 21 présente :

une soirée Ciné / Discussion / Repas

Projection de ''My Makhzen And Me''

de Nadir Bouhmouch,

mercredi 4 décembre

à partir de 18h,

aux Tanneries, 15 bd de Chicago, Dijon

puis discussion sur le Mouvement du 20 Février au Maroc, avec Hamza du Mouvement du 20 Février, de l'Association Marocaine des Droits de l'Homme, et du collectif Guerrilla Cinéma (collectif marocain réalisant des films sur la situation sociale et politique au Maroc).

Eté 2011. Nadir Bouhmouch, étudiant marocain à l'étranger

 revient à son pays d’origine, le Maroc. 

Le pays est en agitation, entre réformes et contestations,

 plus personne ne sait où donner de la tête.

S’y trouve aussi un mouvement...


C'est l'occasion de revenir sur le Mouvement du 20 Février, la répression, le régime de Mohammed 6, les résistances qui se développent !


mardi 26 novembre 2013

En écho à la marche contre le racisme qui aura lieu à Paris ... rassemblement citoyen à Dijon / samedi 30 novembre 2013.




Les associations : AODOMAB (association des Originaires d’Outre-mer et amis en Bourgogne), ATMF(Association des Travailleurs Maghrébins de France) Cimade, FCPE, Ligue des droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement, Maison de la Méditerranée, Mouvement de la Paix, MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) Ras le front, SOS racisme
Les organisations syndicales : CGT 21, CFDT Côte-d’Or, CNT, FSU 21, Solidaires 21, SGEN-CFDT, UNEF 
répondent à l’appel initié nationalement par de nombreuses associations et organisations syndicales afin d’alerter sur l’ampleur et la gravité que prennent dans notre pays les dérives racistes ; les attaques récentes qui, au travers d’une ministre de la République, ministre de la Justice et Garde des sceaux, visent à dénier l’appartenance humaine à des millions de personnes,  sont l’expression d’un racisme urgent à combattre  car il met en danger la société.
 
- Le racisme stigmatise des groupes entiers à partir de préjugés sur des apparences, niant à la personnalité individuelle sa capacité à évoluer librement ; le racisme enferme condamne et exclut des individus par des jugements globaux et définitifs totalement arbitraires : ainsi il contredit le principe républicain de liberté
- Le racisme installe dans les têtes l’idée d’une hiérarchie entre les êtres humains, en contradiction totale avec le principe républicain d‘égalité
- Le racisme vise la division et sème la haine : il est en contradiction avec le principe républicain de fraternité qui, seul, peut garantir un avenir de paix et de justice
- Le racisme prend ses racines dans les pages sombres de l’Histoire :
o   Durant des siècles, en Europe et en France il y a eu des tentatives de justification des guerres et de l’exploitation des vaincus à partir de l’origine, de la couleur de peau, du sexe, de la religion ou du mode de vie,
o   La traite esclavagiste puis la domination coloniale, au nom d’une supériorité supposée et totalement inepte d’un « homme blanc » ont laissé des plaies profondes , toujours vives.
o   Le nazisme a voulu exterminer des populations pour faire règner sur l’Europe l’imposture d’une « race supérieure » pourchassant particulièrement Juifs et Tsiganes avec la complicité, en France  du régime de Vichy et dont d’aucuns, à l’extrême-droite, se reconnaissent ouvertement les héritiers.
- Nous tenons à rappeler qu’au-delà des innombrables diversités physiques il n’existe qu’une seule espèce humaine et que dans une société démocratique, pas plus que l’apparence physique, le genre, les choix spirituels, les origines, le mode de vie ne peuvent être des facteurs de discriminations et conduire à des persécutions, c’est pourquoi le racisme n’est pas une opinion mais un délit, devant la loi de la République.   
- A présent dans nos sociétés en crise, le désarroi et la colère sont exploités par tous ceux qui désignent à la vindicte populaire des populations qui ne sont pas responsables de cette crise et qui au contraire en sont souvent les premières victimes : simpliste, commode pour éviter de poser les vraies questions mais injuste et dangereux , porteur de menaces sur  l’avenir commun : le racisme mine la société, à chacun, chacune d’en prendre conscience pour s’en délivrer et en débarrasser la société : le combat est à mener ensemble et individuellement, c’est notre responsabilité de citoyen (ne)s. 

C’est pourquoi ces organisations appellent, en écho à la Marche contre le racisme qui aura lieu à Paris le même jour, à exprimer une condamnation collective du racisme par :


Un rassemblement citoyen
à 

Dijon 
ce samedi 30 novembre 2013
place François Rude à 11h30.

 
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Communiqué !

COMMUNIQUE DE PRESSE
La fédération de Côte d'Or du pcf appelle au rassemblement contre le racisme le 30 novembre à Dijon à 11h30, place François Rude

Des actes et des propos racistes s’expriment de plus en plus ouvertement dans notre pays alors que le Front national bénéficie d’une promotion médiatique indécente.
Avec la campagne abjecte subie par Christiane Taubira, un pas dans l’inacceptable a été franchi. Le racisme n’est pas une opinion mais un délit. La recherche de boucs émissaires - l'Autre, musulman, étranger, noir, rom, juif - nous conduit sur les pistes dangereuses de la division, de la haine et de la violence. Elle permet d'éviter de désigner les vrais responsables de la crise qui sont la course à la finance, aux profits et à la rentabilité immédiate. Le responsable, ce n’est pas l’Autre, c'est le capital.

Le PCF appelle à se rassembler et à s'unir dans sa diversité et ses différences pour faire prévaloir l’Humain d’abord, construire un projet de biens communs, de liberté, d’égalité, de fraternité dans une République sociale, démocratique et participative.
Le PCF soutient dans le pays et à Dijon les manifestations et les rassemblements du 30 novembre contre le racisme, organisée par de nombreuses associations et syndicats, et appelle à y participer.

Pour le PCF 21 ,
 Le comité exécutif départemental
Isabelle De almeida  

Assises pour l'Ecosocialisme le 7 décembre 2013 à Quétigny (Côte d'Or).


L'écosocialisme propose une appropriation collective de la production et de la répartition des richesses dans le respect de la planète.
Peut-il être une alternative au système capitaliste responsable de la crise sociale et écologique ?

Venez en débattre et échanger ...

Salle Nelson Mandela (avenue de Cromois) à Quétigny (21).



Programme


10:00 à 12:30 - table ronde : les défis de l'écosocialisme

- Gabriel AMARD, Parti de Gauche
- Paul ARIES, directeur de la rédaction "Les Z'indigné-e-s"
- Laurence LYONNAIS, Gauche Anticapitaliste
- Roland MERIEUX, Les Alternatifs

14:00 à 18:30 - ateliers

- Vers une qualité de ville et de vie
- Une transition énergétique créatrice d'emploi et une sortie du risque nucléaire
- L'eau, un bien commun très précieux
- Une agriculture écologique pour une alimentation de qualité


Cette manifestation est à l'initiative du Parti de Gauche 21 et de la Gauche Alternative 21.
Pour tout renseignement complémentaire :
Gauche Alternative 21, 46, rue Jack London, 21800 Quétigny, ou au 03 80 46 20 54


Réservation de repas froid sur inscription ici ... 

http://doodle.com/piapbpvnrgzs59xmhttp://doodle.com/piapbpvnrgzs59xm



mercredi 20 novembre 2013

“Sharqiya” dans le cadre du festival des Nuits d’Orient.



 soirée Eldo à ne pas manquer !
plus d'infos en un clic !!
http://cinema-eldorado.fr/


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Dans le cadre du festival des Nuits d’Orient,
Au cinéma Eldorado,
Lundi 2 décembre, à 20 heures 15,
L’Association France Palestine Solidarité (AFPS21)
 et l’Union Juive Française pour la paix (UJFP21)

vous parlent des
Bédouins du Neguev

1°- à travers le film israélien :

“Sharqiya”.
de Ami Livne

On connaît peu ce problème d’une grande actualité : bien que les Bédouins du Neguev soient des citoyens israéliens, ils sont soumis à des regroupements forcés dans des villes en béton, qui les privent de leur environnement économique et culturel.
Là, ils  sont trop souvent  réduits à la misère, à l’alcoolisme et au trafic.
La pratique de démolitions des habitations bédouines traditionnelles s’accentue, puisque au moins 40000 Bédouins sont actuellement menacés par une loi en discussion à la Knesset, la loi “Prawer-Begin”.

Le film  se focalise sur trois personnages. 
Le héros, Kamel, vit dans le désert avec son frère et sa belle-soeur.
Chaque jour, il marche, et marche encore depuis le désert vers la ville israélienne de Bersheva, où il tente de s’insérer. 
Il y travaille en effet comme gardien de sécurité  à la gare routière, à l’orée du désert. Kamel vit entre deux mondes, et son frère lui reproche de pactiser avec les Israéliens juifs, alors que leurs fragiles habitations bédouines sont menacées par l’armée.
Comment s’en sortir ? Par la révolte ? Le repli sur soi ? Une tentative de s’insérer ?


“Sharqiya” a reçu de nombreuses récompenses.

Suivra une  discussion animée par Michel Ouaknine.

Membre de l'Union Juive Française pour la Paix, Michel Ouaknine connaît bien Israël et la Palestine. 
Il s'est rendu dans le désert du Néguev et depuis lors, il travaille étroitement avec  « Dukium »,  une association israélienne où militent Juifs et Bédouins pour la défense des terres et de la culture, contre les expulsions et la dégradation des conditions de vie des Bédouins.

2°- Exposition

Ce même jour, le 2 décembre, à partir de 17 heures, à la Maison des Associations
en présence de Michel Ouaknine, une exposition sur les Bédouins ouverte à tous  sera inaugurée par la mairie. Elle restera en place jusqu’au 6 décembre.
Michel Ouaknine a initié cette belle exposition (actuellement en tournée à travers la France). 
A travers des photos réalisées par des artistes, des militants israéliens et les Bédouins eux-mêmes, elle raconte leur histoire.

Accès :- Divia : Liane 2 et lignes 12, 14 et 18 : arrêt Hôpital 1er mai
- Corol : arrêt 1er mai-Foyer
- Diviacity : arrêt Parking Tivoli
- Vélodi : station Corroyeurs
 Adresse : 
2 rue des Corroyeurs
21000 Dijon
Tel : 03 80 74 56 56
Email : maisondesassociations@ville-dijon.fr

lundi 18 novembre 2013

Rencontre avec Abdelfattah Abusrour.


Quelques membres de CCE ont rencontré lors d'un voyage Abdelfattah Abusrour en Palestine au Camp de Aida.
Il a été invité à venir, à l'occasion de sa présence en France, pour une intervention dans le cadre de la Semaine de la Solidarité du  18 au 23 novembre.

Il est prévu de lui demander, non seulement de reparler de la situation au Camp de Aida à Bethléem, mais aussi de son regard porté sur la situation au Moyen Orient et les conséquences pour la Palestine.

Lundi 18 novembre 2013

de 20h à 23h

 Foyer des Griottons à Cluny


Abdelfattah Abusrour est directeur du centre Al-Rowwad du camp d’Aida, centre artistique, culturel et de théâtre pour enfants.
Il anime des soirées publiques dans différentes régions de France du 13 au 22 novembre et est l’invité de l’association Cluny Chemin d'Europe et des Foyers Ruraux pour cette première soirée de la semaine de la solidarité.

« Beaucoup de peuples ont subi l’occupation et nous, comme tous les peuples sous occupation, nous revendiquons le droit à la résistance. Certains ont rejoint la résistance armée mais plus de 99 % des palestiniens n’ont jamais porté une arme : mais ils s’affirment par la résistance, par la culture, par leur attachement à leurs droits et à leurs valeurs humaines ».

Entrée libre


Association Cluny-Chemins-d’Europe, Maisons des Echevins, 22 rue de la Barre, 71250 Cluny
Tel : 03-8559-1354 – email cluny-cheminsdeurope@wanadoo.fr – info : www.clunycheminsdeurope.org
 

vendredi 1 novembre 2013

Contre les expulsions / pour le respect de la protection de l’enfance et du droit au logement !


Contre les expulsions

Pour le respect de la protection de l’enfance et du droit au logement !


En Côte d’Or, depuis des mois des centaines de demandeurs d’asile ou de migrants qui avaient obtenu une autorisation de séjour sont sommés de quitter le territoire.
De nombreux demandeurs d'asile se voient refuser l'accès aux droits découlant  des accords internationaux. Ils ont fui dans les conditions terribles encore récemment  médiatisées,  les persécutions, des dictatures, des pays en guerre.

Souvent sans attendre la fin de la procédure, ils sont sommés de quitter le territoire, alors que les évènements dramatiques qui les ont amenés à quitter leur pays leur interdisent tout retour en arrière. Lorsqu'ils ont perdu espoir d'obtenir le statut de réfugié que la France accorde si peu, leur démarche en vue d'obtenir un autre titre de séjour se solde désormais par un refus  et une procédure d'expulsion.
Par ailleurs, de nombreuses personnes qui avaient obtenu une autorisation de séjour ces dernières années et avaient pu s'intégrer en France (travail, paiement des cotisations sociales, des impôts, scolarisation des enfants) s'en voient refuser le renouvellement et se retrouvent alors dans l'illégalité avant l'aboutissement des procédures "d'éloignement" que la préfecture ne tarde pas à prendre à leur encontre.

A cela s’ajoute la volonté affichée par le Président du Conseil Général de ne plus respecter son obligation légale de protection de l’Enfance envers les mineurs isolés étrangers en suspendant tout nouvel accueil.
Le droit universel au logement est lui aussi loin d’être respecté. Malgré les règles de droit, une bonne partie des demandeurs d’asile n’est pas hébergée par l’Etat. Des familles même avec des enfants en bas âge, au motif qu’elles changent de statut, sont expulsées de leur logement sans solution d’hébergement.

Face au manquement de l’Etat à ses obligations, un lieu d’accueil a été ouvert dans un bâtiment public vide depuis plusieurs années rue René Coty à Dijon. La justice saisie a autorisé ses habitants à y rester l’hiver au nom « du respect de la dignité humaine et du droit au logement ».
Il faut obtenir qu’il ne soit pas fermé sans solution de relogement pour tous ses habitants, d’autant que ces locaux ne font l’objet d’aucun autre projet d’utilisation pour l’instant.
Nos organisations engagées depuis des mois pour le respect des droits et de la dignité des demandeurs d’asile comme de tout être humain appellent à ...

 un rassemblement de soutien

 le mardi 12 novembre 2013  à 18h30

 place François Rude  à Dijon


ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / Adisar / Afrane Bourgogne / Amnesty International / ATTAC 21 / Agir ABCD / CFDT 21/ CGT 21 / Club Unesco Dijon / CCFD Terre Solidaire / CNT 21 / CSF / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / Fraternité de St François d’Assise / FSU 21 / La Vie Nouvelle / Ligue des Droits de l’Homme / MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 /SOS Racisme/ SOS Refoulement / Syndicat de la Magistrature / Sud Santé / Tends la Main / Urgence Solidaire