Rechercher dans ce blog

mardi 9 décembre 2014

A l'occasion de la journée internationale des droits de l'Homme / Communiqué de presse des Droits de l’Homme.



En 1950, l’Assemblée générale des nations unies a invité à célébrer le 10 décembre la journée des droits de l’Homme. Elle marque l’anniversaire de l’adoption en 1948 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Aujourd’hui, ses principes sont bafoués dans de nombreux  pays. Quand les victimes de ces persécutions viennent en Europe et en France pour demander protection, l’accueil est loin d’être respectueux des traités internationaux comme des personnes. Triste coïncidence, c’est au moment de cette journée internationale que sera débattu à l’assemblée un projet de loi asile qui a fait l’unanimité contre lui des associations engagées sur ce sujet.  

La Coordination française pour le droit d'asile (CFDA) qui regroupe ces associations au niveau national, a mis l’accent sur de nombreuses dispositions négatives de ce projet.

La Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH) a adopté à l'unanimité un avis, très critique, reprenant les observations des associations. Malheureusement, le gouvernement reste sourd aux critiques de tous ceux qui font vivre l'accueil et l'hébergement des demandeurs d'asile.

Tout l’argumentaire pour présenter la loi repose sur deux postulats
:    
 
- le fantasme de l’invasion
. La demande d’asile est présentée comme un phénomène en explosion. En réalité, sur la durée, les chiffres varient régulièrement dans le sens de la montée puis de la descente. Cela montre tout simplement que la demande d’asile n’est fondamentalement pas liée à un « appel d’air » que nos réglementations réguleraient, mais aux guerres et aux persécutions qui poussent hors de leur pays  des personnes qui ne peuvent plus y vivre.  De plus, l’asile est uniquement présenté comme une charge sans dire aussi ce qu’il apporte au pays accueillant. Et pourtant, ce que nous voyons au quotidien ce sont des êtres souvent profondément blessés, mais aussi un dynamisme, une volonté de vivre et  de faire qui peuvent être une ressource extraordinaire pour notre pays.
                                                                                                                                        
 - la demande massivement infondée au prétexte qu’il y a au final 80% de refus. Mais tout le fonctionnement est  fondé sur une inversion de la charge de la preuve. Le droit d’asile est refusé aux demandeurs, non parce qu’il est prouvé qu’ils n’ont pas été persécutés, qu’ils ne sont pas en danger, mais parce que leurs bourreaux ne leur ont pas fourni de certificats de persécution. C’est un système qui condamne au bénéfice du doute. Et le résultat, ce sont des femmes congolaises qui ont été torturées et violées, des érythréens fuyant une dictature féroce, des somaliens échappés à la guerre et à la terreur des bandes armées qui se voient refuser l’asile. C’est ensuite la vie dans la grande précarité ou la clandestinité dans la peur d’un retour qui équivaut à une condamnation.

Le vrai défi à relever est que la France est aujourd’hui l’un des pays ayant le plus mauvais taux d’acceptation des demandes d’asile en Europe. Le taux  de réponse positive en première instance est en France de 14,5% pour  27% pour l’ensemble de l’Union Européenne (29% en Allemagne, 35% en Grande Bretagne, 39% en Suède, 64% en Norvège).

Les réponses  contenues dans le projet de loi sont largement inadaptées et dangereuses :

- non-transposition des directives européennes sur le droit à une information complète et le droit au travail

- régression des droits des demandeurs d'asile, avec des procédures accélérées. Il s’agit de personnes souvent traumatisées qui ont pu vivre la prison, les sévices, la perte de proches, des périples dans des conditions effroyables pour arriver en France, l’angoisse permanente pour eux et ceux restés au pays et voilà qu’il faut, à toute vitesse, faire un dossier complet, s’appuyant sur toutes sortes de preuves. Pourtant, tous ceux qui ont travaillé sur le soin aux victimes peuvent attester qu’il faut un temps long  pour que les choses puissent être dites, surmonter tout l’indicible de l’horreur, avoir un récit cohérent.

Tout raccourcissement systématique des délais de procédure est un obstacle à l’exercice réel du droit d’asile.

- système directif d'hébergement dans des centres d'accueil, facilitant leur interpellation et leur expulsion en cas de rejet de leur demande.

- maintien de mineurs privés de liberté

Ce projet est régressif, porteur  de drames humains.  Il est du devoir de chaque parlementaire d’avoir à l’esprit tous ces aspects au moment du vote.

Collectif droit d’asile migrants : ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / Afrane Bourgogne / Amnesty International / ATTAC 21 / AGIRabcd /ATMF / CFDT 21/ CGT 21 / Club Unesco Dijon / CCFD Terre Solidaire / CNT 21 / CSF / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / Fraternité de St François d’Assise / FSU 21 /  La Vie Nouvelle / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 /SOS Racisme / SOS Refoulement / Syndicat de la Magistrature / Sud Santé / Tends la Main / UJFP /Urgence Solidaire)

jeudi 4 décembre 2014

Communiqué de presse du Front de Gauche 21 / riposte au Medef.

 
Le Medef prépare du 1er au 5 décembre une semaine d'actions pour « dire la souffrance des patrons dans les PME "tout en profitant de l'occasion pour remettre en cause le compte pénibilité, le temps partiel de 24h par semaine, l'obligation d'informer les salariés de la cession de l'entreprise... ».

En Côte d'or, tout le patronat appelle à une mobilisation générale et convoque les responsables politiques ainsi que le préfet de région pour venir écouter leurs doléances. A deux pas du lieu de leur réunion, le savent-ils, il y a Sanofi, un groupe du CAC 40 qui veut céder son site alors que le groupe bénéficie de l'argent public, méprise les salariés en lutte et met en danger la santé publique. Qu'en diront-ils ?

A Dijon, le 9 décembre Pierre Gattaz tiendra une "conférence exceptionnelle " pour clamer qu' "1 millions d'emplois, c'est possible" alors que le chômage ne cesse d'augmenter : en Côte d'Or, les derniers chiffres sont éloquents : la barre des 25000 demandeurs est atteinte. La décence, ils ne connaissent pas ! 
Alors que ce sont 200 milliards d'euros d'argent public qui sont attribués sous différentes formes aux entreprises (crédit d'impôts et exonérations), ils en réclament toujours plus aux salarié-es. Ils rêvent de casser le code du travail, les accords de branches, de détruire le régime d’indemnisation des intermittents, du travail le dimanche, de pouvoir licencier plus facilement. Faut-il aussi que nous leur fournissions des mouchoirs pour essuyer leurs larmes de crocodile ?

C'est pour riposter, arguments contre arguments, que le Front de Gauche appelle à la mobilisation sous toutes les formes. Ils veulent parler de l'entreprise ? Nous disons BANCO !
Parce que nous aussi, on aime l'entreprise, celle qui respecte le travail, celle qui crée et partage des richesses utiles. Nous demandons des comptes : où va l'argent du CICE ? Du CIR ? Des banques ? De l’Etat ? Qui touche quoi ? Pour en faire quoi ? Nous savons où sont les gâchis.

Alors que le gouvernement Valls et le président Hollande continuent à écouter et à croire aux jérémiades du patronat nous n'allons pas laisser la place dijonnaise aux exigences sans fin du grand patronat, au contraire, nous allons dénoncer les gâchis sur la place publique et apporter de solutions pour l'emploi et une vie décente pour tous et toutes.

Nous nous tenons à votre disposition pour vous apporter tout élément complémentaire à ce
communiqué.

Le Parti communiste 21
Le Parti de Gauche 21
Ensemble 21

mercredi 26 novembre 2014

Jugement d'annulation de l'arrêté d'expulsion du squat de l'école des greffes.



Arrêté d’expulsion du squat de l’école des greffes annulé, le droit au respect reconnu ...

Le tribunal administratif de Dijon saisi par la Ligue des Droits de l’Homme vient d’annuler partiellement l’arrêté du maire de Dijon de juillet 2012 qui avait amené l’évacuation des réfugiés (relevant par ailleurs des statuts administratifs les plus divers) qui avaient trouvé abri dans l’ancien internat de l’école des greffes de Dijon. 

Cette annulation est motivée par les conditions de cette évacuation. Celles-ci avaient soulevé l’indignation de toutes les associations et de nombreux citoyens attachés au respect des droits des étrangers et plus largement des droits humains. 
Alors que les habitants étaient protégés par une décision de justice leur accordant un délai, le maire et le préfet de l’époque étaient passés en force rompant la concertation avec les associations, sans même se donner la peine de rencontrer les habitants, en organisant une opération de police surprise massive à l’encontre de personnes pacifiques à qui aucun délit ne pouvait être reproché en les traitant comme des malfaiteurs expulsés au matin sans délai, triés dans une ancienne caserne sans pouvoir bénéficier d’une assistance et se retrouvant au final pour la plupart à la rue le soir même ou quelques jours plus tard.

Cela n’avait strictement rien réglé et avait été le début d’une longue suite d’ouvertures de lieux de survie et d’expulsions, la plus terrible ayant été celle de décembre 2012 où des familles avec des enfants dont le plus jeune avait 3 mois se sont retrouvées la nuit en plein hiver chassées de leur abri sans que les pouvoirs publics se soucient d’eux laissant cette charge aux militants associatifs.

Nous espérons que cette suite soit définitivement close et actons les avancées obtenues depuis même si restent la question cruciale de l’ouverture d’un abri de jour pour les familles et d’une solution durable pour tous ceux qui n’ont aujourd’hui d’autres solutions que les squats.

Au-delà de la satisfaction morale de ce jugement, s’il y a bien une leçon qui doit en être tirée, c’est qu’il ne peut y avoir de bonne solution sans respect et sans concertation avec les premiers intéressés. Chacun, quelle que soit sa situation administrative, doit être considéré d’abord comme un être humain respectable relevant des droits fondamentaux tels que définis par la déclaration universelle des droits de l’Homme. 

Pour la section de Dijon de la Ligue des Droits de l'Homme.

vendredi 21 novembre 2014

Communiqué de presse du Parti de Gauche 21.

 

Communiqué de presse appelant au 

rassemblement de Dijon du 22 novembre 2014.


En mémoire de Rémi Fraisse et pour répondre à l'appel national à manifester de manière citoyenne aux violences sécuritaires envers les manifestants et militants, un collectif d'associations, partis politiques et syndicats locaux s'est regroupé pour organiser une action non violente le 22 novembre à Dijon.
Nous dénonçons aussi le jusqu’au boutisme des élu(e)s et promoteurs de tout projet, grand ou petit, détruisant la nature et ne servant pas l'intérêt général des populations, qui pourtant participent financièrement mais n'en tirent aucun profit. Les cas sont nombreux dans toutes nos régions et dépassent même le territoire national.

À l'heure des économies de budget dans la plupart des domaines régaliens de l'Etat, il nous faut réagir fortement contre ces gabegies économiques au détriment des services publics, qui ne font que générer une grogne des citoyennes et citoyens.

Nous appelons donc à un rassemblement convivial pour d'une part informer les passants mais aussi montrer au pouvoir en place que notre société doit évoluer mais pas forcément dans leur sens. Nous ne voulons plus être les bons électeurs chaque fois que la démocratie nous le demande, mais souhaitons être acteurs de notre avenir et de notre bien être. Que se soit en ville ou à la campagne, chaque habitant à des devoirs mais aussi le droit de jouir d'un environnement sain et agréable, de sa naissance à sa disparition. Nous ne sommes pas contre le progrès ni les avancées techniques et/ou scientifiques à partir du moment ou cela est bénéfique pour tous et ne porte pas atteinte à l'intégrité des individus et à la biodiversité naturelle.

Rendez­ vous à 14h30 place Darcy, puis défilé jusque devant la préfecture et retour place Darcy où seront présents des stands ouverts à tous (soupe, concert, échanges...). 
Un hommage à Rémi sera symbolisé par l'allumage de bougies à la tombée de la nuit. Le rassemblement se terminera vers 19h.

Nature et Progrès 21, Parti de Gauche 21.

mercredi 19 novembre 2014

Communiqué de l’UL CNT 21 pour la manifestation du 22 novembre 2014 à Dijon.

 

La CNT 21 adresse ses condoléances 

aux proches de Rémi Fraisse, tué par

la gendarmerie sur le site du projet de barrage de Sivens.


Communiqué de l’UL CNT 21,
pour la manifestation du 22 novembre 2014 à Dijon,
14h30 place Darcy, 16h place de la Libération,
suite à la mort de Rémi Fraisse le 26 octobre sur la ZAD du Testet.

 

Elle réaffirme son implication dans la lutte contre l’agriculture productiviste et l’aménagement marchand du territoire dont ce projet est un exemple. Face à la surdité des décideurs, toujours prompts à servir les intérêts privés, nous soutenons l’occupation revendicative, constructive et créative des terres menacées et ne pouvons qu’approuver leur défense face aux attaques policières menées pour imposer ces projets par la force, au nom de la raison d’état, contre l’intérêt général.

La violence que nous dénonçons est celle de la police et de la gendarmerie. Cette nuit-là, 400 grenades ont été tirées en 2 heures pour défendre un parking désert ! L’usage des lanceurs de balles qui ont éborgné tant de personnes dans les manifestations et les quartiers populaires est un scandale, visant à instaurer un climat de terreur.
L'homicide par grenades de guerre - prétendument « non létales » - en est le degré supérieur. Il était malheureusement prévisible qu’un tel drame se produirait. En l’absence de processus de désarmement des forces de l’ordre, il est à craindre que cela se reproduise.

Les manifestations qui ont suivi la mort de Rémi Fraisse ont été accompagnées d’arrestations préventives et massives, certaines ont été interdites. Nous dénonçons ceux qui ont tenté de maquiller les faits et encouragé cette répression en parlant de « casseurs » ou de « djihadistes verts » pour discréditer une résistance légitime. Nous assistons dans les media aux mêmes délires qui ont accompagnés les révoltes populaires de 2005 et 2007, ou qui ont présentés les militants de Tarnac en dangereux terroristes.

Ces manifestations se sont doublées d’une colère et d’un dégoût profond à l’encontre de la police, nourris par les innombrables victimes qu’elle laisse dans son sillage, en toute impunité. Nous refusons de distinguer entre « bons » et « mauvais » manifestants, tout comme nous refusons d'«appeler au calme », calme qui serait une paix des vainqueurs.

Nous réaffirmons que cette société capitaliste autoritaire génère par nature de tels événements, tout comme elle génère par nature l’exploitation, et détruit par nature l’environnement. Nous poursuivrons notre action dans la perspective d’un changement radical autogestionnaire.

UL CNT 21

lundi 17 novembre 2014

Politique de l'ombre pour une épitaphe annoncée de nos spectacles vivants.



L'union fait la force et on en a besoin face à cette chape de plomb !!
Les orchestres sont touchés mais aussi les espaces tels que les théâtres lyriques et tant d'autres aussi; de même, les artistes intermittents ou non, tous les travailleurs du spectacle.
Depuis mai 1981, le mot avait été donné nationalement et communiqué aux représentants syndicaux, sur bon nombre de maisons devant être progressivement fermées pour devenir des ''théâtres d'accueil", le régime intermittent ne cesse d'être attaqué et les artistes touchés progressivement et régulièrement ...
Si certaines maisons perdurent c'est bien parce que certains se sont battus face à une inertie de tant d'autres, pourtant nous savons bien qu'à terme elles devront mettre la clé sous le paillasson.
On ne cesse d'entendre par chez nous que l'Opéra de Dijon (Grand-Théâtre) deviendrait à terme un """ musée """ pour des raisons obscures.
Et ce n'est pas du nouveau qui vient de sortir puisque lorsque bon nombre étaient encore basés au Grand-Théâtre bien avant l'Auditorium çà se disait déjà dans les couloirs et les réseaux semi privés.
Cette situation scandalise tout en menant à un positionnement face à une politique destructrice de nos professions.
Nous nous mettrons aux côtés de toutes démarches de solidarité de nos acteurs syndicaux ou autres, et nous opposerons citoyennement comme syndicalement face à  toute politique de l'ombre amenant à la disparition d'une partie de notre patrimoine artistique comme de tout spectacle vivant dont la plupart ne survivent bien souvent  qu'avec quelques roupies et un travail non reconnu !!!

CSM21


"Syndicats et patronat de la quasi-totalité des orchestres et opéras français ont lancé lundi un appel aux décideurs politiques pour le maintien des orchestres permanents, menacés dans le monde entier."

http://www.francemusique.fr/actu-musicale/union-sacree-pour-la-survie-des-orchestres-59812 

jeudi 13 novembre 2014

Festival Migrant'scène et regards croisés ... Dijon s'exprime !






Samedi 15 novembre : Salle Agrippa d’Aubigné 14 bd de Brosses - Dijon.
14 h30 : conférence « Genre, migrations et politiques publiques »
par Christine Catarino, docteure en sociologie.
( Libre participation )

********
Du 12 au 29 novembre : Cercle Laïque Dijonnais – 3-5 rue des fleurs –Dijon.
(du lundi au vendredi, 10h30 - 12h et 14h - 20h30 ; samedi, 14h - 18h)
Exposition « Moving beyond borders »
produite par le réseau Migreurop.
(Entrée libre)

********
Mardi 25 novembre : Cinéma Eldorado - rue Alfred de Musset - Dijon.
20h15: Film « Ceuta,  douce prison »
de Jonathan Millet, Loïc H.Rechi
Débat en  présence des réalisateurs.
(Tarifs habituels)

********
Vendredi 28 novembre : Salle Agrippa d’Aubigné – 14 bd de Brosses - Dijon.
20h15 : Lecture spectacle « Lampedusa  Beach »  
par Ilène GRANGE
(Libre participation)

********
Samedi 29 novembre : Cercle Laïque Dijonnais – 3-5 rue des fleurs –Dijon – 
18 h 15 : Soirée conviviale et festive (film « Rétention »
 + débat
 + présentation des activités de  la Cimade
 + pot de l’amitié sous forme d’auberge espagnole)

(Libre participation)

mercredi 12 novembre 2014

L’austérité : une aberration économique, une impasse sociale et écologique !



Communiqué de presse du Front de Gauche
L’austérité : une aberration économique, une impasse sociale et écologique !

 

Toujours plus d’austérité ! Sur injonction de la commission européenne et avec la complaisante complicité du gouvernement Valls et du président de la République, le budget prévisionnel pour l’année 2015 témoigne une nouvelle fois de l’obstination coupable de nos dirigeants, tandis que le pays s’enfonce dans la crise. Chômage de masse, précarisation, atteintes aux services publics et à l’environnement s’aggravent dans son sillage …

Face à cette impasse le Front de Gauche 21, invite nos concitoyens à trois mobilisations
:

- le 13 novembre 2014 entre 11h30 et 14h à un rassemblement devant l’usine Sanofi
(6 boulevard de l’Europe à Quétigny) pour soutenir les salariés de Sanofi en lutte contre l’injustice et la casse de l’industrie française.
Le groupe Sanofi, qui fait partie des entreprises pharmaceutiques les plus rentables au monde, entend céder ou fermer son usine de Quétigny pour satisfaire l’appétit insatiable de ses actionnaires (les dividendes versées en 2013 représentaient 55% du résultat net du groupe !).

- le vendredi 14 novembre 2014 à 13h un rassemblement à l’arrêt du Tram CHU
Avec 9,6 milliards d’économie annoncées dans le budget 2015, la Sécurité Sociale est touchée de plein fouet par la logique comptable des politiques d’austérité. La baisse annoncée des dotations aux hôpitaux se traduira par une restriction de l’accès aux soins de qualité pour tous et pour toutes. Ce désengagement de l’Etat a des conséquences iniques. A Dijon, le parking du CHU est devenu payant début octobre, pénalisant usagers et salariés.
Salariés - usagers : tous concernés !


- le samedi 15 novembre 2014 à une manifestation à Paris (Rendez-vous place Denfert- Rochereau à 14 h), à l’appel du collectif 3A (Alternative A l’Austérité)
- Pour dire non au budget d’austérité du gouvernement Valls et appeler à ce qu’il soit rejeté !
- Pour dire non aux exigences du Medef !
- Pour rassembler et construire une alternative à la politique actuelle !


Tous concernés, tous solidaires !

Cette manifestation sera l’occasion de faire converger les luttes 

qui se mènent localement dans toute la France.


Les représentants du FDG 21

lundi 10 novembre 2014

Conférence-débat sur le thème de "violation des droits de l'homme et impunité" au Maroc à la MDA de Dijon.



C'est avec une grande envolée et plusieurs moments forts, que s'est déroulée la conférence-débat sur le thème  de de "violation des droits de l'homme et impunité" au Maroc de ce vendredi 07/11/2014 à la MDA rue des corroyeurs à Dijon.

Ce débat a été co/organisé par les associations et organismes suivants : AMDH, ATMF, CNT, LDH, AMNESTY, SOLIDAIRES, FSU et a reçu le soutien de plusieurs sympathisants, partis politiques et espaces solidaires.

Cette conférence-débat reçut les intervenants suivants dont les allocutions figurent dans cet article ...

- Khadija Ryadi : ex-présidente de l'Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) et prix des Nations Unies pour les Droits de l'Homme 2013.
https://www.youtube.com/watch?v=d9nKMSXJY_w&feature=youtu.be

- Ayad Ahram : Président de l'Association de Défense des Droits de l'Homme au Maroc (ASDHOM).
https://www.youtube.com/watch?v=LXi3jYwX63E&feature=youtu.be

Nous avons pu retenir un chiffre de participants de l'ordre de 75 à 80 personnes, avec une forte présence d'organisations syndicales, politiques et associatives rassemblées pour l'occasion autour des organismes ayant coordonné cet événement.

A noter, les prestations et la pertinence des allocutions des intervenants tant au cours de la conférence elle-même que lors des échanges avec la salle dont le déroulé ne subit aucun point mort.


Ci-joint le lien de quelques échanges avec la salle.

Conférence "violation des droits de l'homme et impunité" questions/réponses Dijon 07 11 2014 ... 1 
https://www.youtube.com/watch?v=scKWvFTM8qo&feature=youtu.be



jeudi 6 novembre 2014

Communiqué de Presse du Parti de Gauche 21.


 

Référendum révocatoire


À mi-mandat présidentiel de François Hollande, le Parti de gauche lance sa campagne pour que « tous les élus puissent être révocables ».

Dans ce cadre, des urnes seront mises à disposition dans toutes les grandes villes de France du 7 au 11 novembre 2014, afin que chacun puisse se prononcer pour ou contre l’inscription de la révocabilité des élus dans la Constitution.

La révocabilité des élus est l’une des grandes mesures démocratiques que porte le Parti de gauche dans sa campagne pour la Constituante et la VIe République.

A Dijon, le vote se déroulera au croisement de la rue musette et de la rue François Rude (marché des halles) le samedi 8 novembre entre 10h et 16h.

Nous invitons les dijonnai(se)s à participer.

Nous nous tenons à votre disposition pour vous apporter tout élément complémentaire à ce communiqué.

Le secrétaire départemental du Parti de Gauche Cote d’Or
Samuel GARNIER

mercredi 5 novembre 2014

Réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple de 14-18.

 

Réhabilitation collective

des fusillés pour l’exemple de 14-18

« Une répression énergique est seule à même d'empêcher les soldats de reculer »
Joffre, chef d'état-major.

 

Les associations suivantes :

Association nationale des cheminots anciens combattant de Côte d'Or (ANCAC), Association Républicaine des Anciens Combattants de Côte-d’Or (ARAC), Cercle Marcel Martinet de la Libre Pensée – Dijon, Fédération départementale de la Libre Pensée de Côte-d’Or, Institut d’Histoire sociale de la CGT Côte-d’Or (IHS-CGT 21), Le Mouvement de la Paix de Dijon et Côte-d’Or
appellent, une nouvelle fois, les citoyennes et les citoyens épris de justice à un rassemblement pacifiste,

DIMANCHE 9 NOVEMBRE 2014, A 10H00,

PLACE DE LA REPUBLIQUE A DIJON.


POUR LA REHABILITATION COLLECTIVE
DES FUSILLES POUR L’EXEMPLE DE LA GUERRE DE 14-18

650 soldats ont été fusillés après une parodie de justice.
650 soldats qui, cent ans après, n'ont toujours pas été réhabilités alors que les fusilleurs ont été décorés.
650 dont les familles ont subi l'opprobre, la mise en quarantaine et la misère.
Tous doivent être honorés au même titre que les centaines de milliers de combattants tombés pour une guerre qui n'était pas la leur mais « celle des hommes d'argent et des hauts industriels des Etats de l'Europe » (Anatole France).

Le Président de la République, François Hollande, aurait pu donner la réponse de justice que l'opinion attend. Il a préféré l’esquive.
Le Président de la République a désavoué le président du Conseil général de Corrèze qu'il a été en oubliant l'engagement pris par lui, en 2008, pour la réhabilitation collective.

Ce reniement n'affecte pas la détermination de celles et ceux qui seront massivement présents dans les plus de 115 rassemblements pacifiques prévus à l'occasion de ce 11 novembre.

Bien des élus républicains et des collectivités ont exprimé leur soutien à la campagne pour la réhabilitation. En Côte d'Or, les députés Rémy Delatte, Laurent Grandguillaume, François Sauvadet ainsi que le maire de Dijon Alain Millot ont pris position. Le Conseil général (délibération du 13 décembre 2012), le Conseil municipal de Chenôve le 29 septembre 2014 et le Conseil municipal de Longvic le 13 octobre 2014, ont également pris position pour la réhabilitation collective des fusillés.

Les soldats fusillés pour l'exemple doivent retrouver leur dignité de citoyens à part entière.
Par un acte symbolique et solennel, la République doit les réhabiliter collectivement.


Le 9 novembre, sous la présidence de René Carruge (du Cercle Martinet de la Libre Pensée), prendront la parole (première liste) :
Pierre Poillot Conseiller général de Liernais, Bernard Buigues, adjoint au maire de Chenove délégué aux Anciens Combattants, Françoise Faitot (Mouvement de la Paix), Bernard Porrini (ARAC), Paul Gueth (ANCAC), Bruno Marsot (Libre Pensée de Dijon-Henri Barabant, membre de la Commission Administrative Nationale de la Libre Pensée).

La Chanson de Craonne conclura le rassemblement. 

mardi 28 octobre 2014

Conférence-débat / Maroc : violation des droits de l'homme et impunité.

 

 

 

Conférence-débat / Maroc : violation des droits de l'homme et impunité.


Vendredi 7 novembre 2014

à 20h

Maison des associations

2 rue des corroyeurs, Dijon

 

 

 

Intervenant-e-s.


Khadija Ryadi, ancienne présidente de l'Association Marocaine des Droits humains (AMDH)
Lauréate du prix des Nations Unies pour la cause des des droits de l'Homme.
Ayad Ahram, président de l'Association de Défense des Droits de l'Homme au Maroc (ASDHOM)

Le Maroc accueille en novembre le Forum Mondial des Droits de l’Homme.

Paradoxal pour un pays qui réprime les manifestations et compte aujourd'hui une centaine de prisonnier-e-s politiques (militant-e-s des droits de l'homme, syndicalistes, chômeurs, journalistes, étudiant-e-s, etc.) ; un pays où les militant-e-s arrêté-e-s sont torturé-e-s ; un pays qui laisse mourir un militant emprisonné en grève de la faim ; un pays dans lequel les migrant-e-s subsaharien-ne-s n'ont aucun droit et sont l'objet de crimes racistes ; un pays qui, ces derniers mois, interdit toute manifestation, stage, débat organisés par l’AMDH notamment..

Derrière l'image du Maroc des cartes postales où il fait bon vivre, dirigé par un grand ami de la France, il y a un autre Maroc, celui du peuple marocain, celui du chômage, des prisons, des atteintes aux droits de l'homme, des matraques, des procès préfabriqués, de l'impunité des tortionnaires...

Organisé par : AMDH, ATMF, CNT, LDH, AMNESTY, SOLIDAIRES, FSU.

http://amdhparis.org/wordpress/?p=1769 

Suite à la mort d'un militant anti-barrage du Sivens ... rassemblement dijonnais cette semaine !

 
 

Suite à la mort d'un militant anti-barrage
Dijon  s'organise pour que cela ne se passe pas dans le silence !

Rassemblement mercredi 18h - Préfecture
Manifestation samedi 17h - Mémorial Rue de la Liberté


Rémi est mort dans la nuit de samedi à dimanche sur le chantier du barrage du Sivens. Derrière l'opération de floutage médiatique, il y a la parole de ceux qui étaient avec lui ce soir là face aux flics.
Cette parole est claire : l'assaut des gendarmes, la salve de grenades, Rémi abattu.
Il s'agit maintenant de savoir comment agir en conséquence.

A travers l'émotion suscitée par cette mort et les événements qu'elle déclenche, c'est l'avenir de nos luttes qui est en jeu. Tous ceux qui entendent vivre librement sont exposés à la guerre menée quotidiennement par la police. Ainsi, la réaction qui éclate aujourd'hui dépasse le caractère local et spécifique de la lutte du Testet.

Partout, les manifestations se multiplient et se multiplieront cette semaine.
C'est pourquoi, à Dijon, nous appelons à un rassemblement mercredi à 18h devant la préfecture et à une manifestation samedi à 17h (départ devant le Mémorial rue de la Liberté).

Communiqué à l'appel de : L'Amicale Dijon/Notre-Dame-des-landes, l'Amicale Dijon-Testet, la Caisse de solidarité dijonnaise contre  la répression, Zonons Production, l'Espace autogéré des tanneries, des Occupant-e-s du quartier des Lentillères.

mardi 14 octobre 2014

Rencontre avec GHAYATH militant syrien.


Syrie, Irak, Palestine, où va le Proche-orient en feu !

Sortons des clichés médiatiques, des préjugés et des réactions émotionnelles ! L'information de terrain permet de comprendre et de trouver des moyens d'agir !

Rencontre
avec GHAYATH
militant syrien
Jeudi 16 octobre à 20 h 00, à Quétigny
salle du Cromois, avenue du Parc.



En Palestine le blocus de Gaza continue, 2000 palestiniens sont morts. L'Etat d'Israël continue de coloniser à Jérusalem, en Cisjordanie.

En Irak, l'Etat a explosé et les bombardements par les USA et leurs alliés (dont François Hollande) signent une entrée en guerre inavouée et risquée, dont les populations font les frais.

En Syrie la dictature de Bachar el Assad semble redevenue fréquentable pour nos gouvernants, tandis que les Kurdes résistent difficilement aux bandes de Daesh « état islamique du levant ». Les peuples de Syrie qui affrontent une double terreur, réclament des armes efficaces plutôt que des bombardements aveugles. Ils ont besoin de notre solidarité !

mercredi 8 octobre 2014

Vidéo de soutien à l'Amdh suite à la répression et au harcèlement subis en 2014.


 

 


L'Association marocaine des droits humains (AMDH) est une association marocaine à à but non lucratif et non gouvernementale fondée le 24 juin 1979 à Rabat .

L'AMDH est membre de la Fédération internationale des droits de l'homme et est reconnue d'utilité publique selon le décret n° 2.00.405 du 24 avril 2003.

Le président de l'AMDH est Ahmed El Haij depuis le 11 mai 2013.
Il remplace Khadija Ryadi présidente depuis 2007.


Ces derniers temps, l'AMDH subit plusieurs harcèlements à son encontre, de même interdictions de plusieurs exercices voire poursuites arbitraires et interpellations lors de rassemblements ou soutiens.
Et ce, bien que toutes les formalités relatives aux réunions et aux meetings organisés par les orgasations de la société civile soit respectées.

Rien que dans les 7 derniers mois 16 activités de cette association ont été interdites par les services du ministère de l’intérieur, et ce, en dépit du respect de l’AMDH de toutes les formalités en vigueur relatives aux réunions et aux meetings organisés par les organisations de la société civile.

Cette campagne de harcèlement liée à l’activisme de l’AMDH en matière des droits humains et à sa crédibilité nationale et internationale interpelle autant de citoyens, que de partis politiques ou d'associations de droits humains dont les soutiens ne cessent de nous parvenir.

Nous avons rencontré plusieurs militants à l'occasion de la fête de l'Huma 2014 ainsi que dans d'autres régions, certains ont accepté de s'exprimer afin de soutenir cette association  au vu des derniers événements que nous venons de citer.

 Liens d'information.

http://amdhparis.org/wordpress/

https://www.youtube.com/user/AMDHPARIS

http://amdhparis.org/wordpress/?p=1674

http://www.fidh.org/fr/maghreb-moyen-orient/maroc/maroc-association-marocaine-des-droits-humains-amdh/16184-maroc-recrudescence-des-entraves-a-l-action-des-ong


vendredi 3 octobre 2014

Conférence sur le thème des victimes de torture ... quelle reconnaissance ?

 
 
Torture et violences politiques...
quelle reconnaissance?
Conférence / Débat jeudi 16 octobre 20h

La torture est pratiquée dans un pays sur deux dans le monde.
De nombreux demandeurs d’asile arrivent en France après avoir connu emprisonnement, torture, viols, perte de proches.
Et pourtant, souvent, ils n’arrivent pas à faire reconnaître ce qu’ils ont vécu. Il est exigé qu’ils fournissent toutes sortes de preuves comme si les bourreaux délivraient des certificats de persécution ...
Leurs traumatismes physiques et psychiques sont peu pris en compte dans les procédures. Ils se retrouvent dans des situations d’extrême précarité, ayant la plus grande difficulté à faire régulariser leur situation, dans la crainte permanente d’être renvoyés à leurs bourreaux.
En Côte d’Or, une trentaine d’associations agissent ensemble pour le respect des droits des demandeurs d’asile et migrants. Elles apportent une aide juridique, administrative, matérielle et interviennent régulièrement auprès des pouvoirs publics.

Afin de faire connaître et mieux comprendre ces situations ...
 
Conférence-débat
jeudi 16 octobre à 20h
à Sciences Po Dijon
(14 avenue Victor Hugo)
animée par
Sibel Agrali,
directrice du centre Primo Levi à Paris

( * centre de soins pour les victimes de torture et de violences politiques qui fait référence sur ces questions).

Stop aux drames de vie, et disparitions de la rue.



Enième disparition de Sdf sur Dijon en quelques mois ...
Une marche blanche a eu lieu au cours du mois dernier à l'occasion du décès de Mika peu après une garde à vue.
Cette marche, à l'initiative de l'association dijonnaise -Tends la Main-, rendait hommage à plusieurs disparus en peu de temps dans des circonstances qui dénonçaient en cette triste occasion une misère récurrente et qui bien que visuellement présente montre désormais un état de fait bien réèl sur la place.
Ces derniers jours, nous apprenons à nouveau la disparition de Céline, 30 ans, aux abords de nos façades si fermées, de volets et portes closes aux appels silencieux de la rue.
Elle dormait avec ses compagnons de zone dans un kiosque à musique ouvert aux quatre vents, ce matin là elle ne s'est pas réveillée, malgré la présence des secours elle n'a pas réouvert les yeux. 
Nous les côtoyons tous un jour ou l'autre, certains de nous s'arrêtent, échangent ou tout simplement passent leur chemin.
Demain 18h, une nouvelle marche partant de la place Darcy et descendant la rue de la Liberté pour rejoindre la place Wilson, aura lieu. Soyons présents !!

mercredi 20 août 2014

Non à la destruction de l'Orchestre Dijon-Bourgogne !



"Après cinq années d’existence, l’Orchestre Dijon Bourgogne se voit signifier
par la ville de Dijon
le non-renouvellement de sa convention et donc l’arrêt de son financement.
Cette décision brutale va bientôt conduire à la disparition de l’orchestre !"

Certains articles de presse locales et nationales ont relaté la situation actuelle de l'ODB cet été, et plusieurs soutiens se manifestent à leurs côtés ... mais en amont, et ce dès l’été 2013, nous savions que la Ville de Dijon avait  décidé de diminuer la subvention 2014 de plus de 20% générant une impossibilité pour l’Orchestre d’assurer la production du Ring de Wagner sachant qu'en finalité  les moyens mis en œuvre pour la production avaient dépassé largement les limites prévues.

Plusieurs démarches ayant été effectuées dès cet instant, la municipalité étant
dès lors au courant quant à des retombées inévitables de cette décision sur la période actuelle.

A l'occasion des "Mardis du classique" les mardis soir en ce mois d'août 2014 aux Halles de Dijon à 21h, nous pouvons retrouver les musiciens de l'ODB sur le site des concerts pour information de l'état des lieux et sensibilisation du public, un public d'ailleurs en nombre lorsque nous nous y sommes rendus nous-mêmes.
En l'état actuel des choses, les musiciens courent tout simplement le risque de perdre leurs emplois, musiciens au nombre de 48 auxquels on ajoute 4 permanents de l'association.

A savoir que la nouvelle municipalité se penche actuellement sur le dossier, dont le nouveau maire Alain Millot et Christine Martin adjointe à la culture, laquelle découvrant ce dossier à l'occasion de sa nomination récente.
Plaçant ses espoirs en cette nouvelle équipe, l'ODB tente d'obtenir désormais un dialogue réel pour un maintien de son outil, tenant compte de la complexité des différents transferts et échanges y afférents.

Le prochain concert prévu de l'ODB  à début septembre semblant compromis, nous ne manquerons pas de suivre l'évolution en cours et de nous montrer solidaires d'un outil incontournable sur la ville de Dijon et dont le rayonnement sur la région demeure un des éléments de notre patrimoine culturel.

Une Pétition de soutien à l'ODB est actuellement en cours, les soutiens ne cessent d'arriver de toutes parts, une page Facebook y est consacrée, gageons que les musiciens de l'Orchestre Dijon Bourgogne ne cesseront de se manifester et de faire perdurer un souffle artistique local et régional qui marque de son sceau notre cité des Ducs.

 
Entretien avec Jean-Claude Petot sur la situation de l'ODB Dijon 19/08/2014.

 

Liens.

 

http://www.petitions24.net/sauvez_lorchestre_dijon_bourgogne 

 

 http://www.orchestredijonbourgogne.fr/?Accueil 

jeudi 7 août 2014

Palestine : rien n'est réglé ! Dijon demeure mobilisée !!

 

Communiqué du collectif  21 pour une paix juste et durable 

en Palestine et Israël.

Palestine : rien n'est réglé ! 

Manifestons samedi 9 août 2014 à 15 h00 devant la préfecture !


Malgré l'annonce de cessez-le-feu, de retrait partiel de l'armée israélienne, de négociations, les problèmes demeurent. Le blocus de Gaza, la menace de bombardements, comme l'occupation et la colonisation en Cisjordanie continuent.
La question Palestinienne n'avance pas avec des guerres  à répétition, des destructions massives (500 000 personnes déplacées  dans la bande de Gaza, 1850 morts, 6 milliards d'euros de destructions...) des crimes de guerre  évidents. 
La mobilisation  reste  indispensable  pour obtenir que le gouvernement  français, l'Union européenne fassent pression  en remettant en cause  par exemple les accord économiques privilégiés avec Israël. Les livraisons d'armes, notamment  par les USA doivent cesser. L'aide aux victimes est  urgente. 
Pour cela, le collectif a demandé une rencontre au préfet et  appelle à manifester en se rassemblant devant la préfecture  le  samedi 9 août à 15 h 00 . La solidarité demeure  indispensable dans  la durée pour  le respect des droits du peuple palestinien, la justice et la dignité, conditions de la Paix.


  °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Ces dernières semaines le Collectif21 s'est manifesté à plusieurs reprises depuis l'escalade des derniers événements et l'intensification des frappes à l'encontre de Gaza (voir les divers liens).
Les nouvelles du dernier cessez-le-feu et les tractations qui suivent actuellement ne nous laissent pas dupes du fait d'une évolution aléatoire quant au suivi de la situation et quant à la persistance des problèmes dans la région.
C'est pourquoi nous considérons que la mobilisation doit être de mise afin de sécuriser la situation de la population sur place et renforcer notre soutien et notre solidarité.
Les rencontres avec les autorités et  le maintien de nos rassemblements nous semblant essentiels, un rassemblement est donc inscrit ce samedi 09/08/2014 devant la Préfecture de Dijon.

CSMM




  

jeudi 19 juin 2014

A l'occasion de la "Journée internationale contre la torture", Dijon manifeste !





Le 26 juin est la journée internationale contre la torture. C’est l’occasion d’appeler à la solidarité avec toutes les victimes dans le monde de régimes tortionnaires et à soutenir les associations qui agissent au quotidien à ce sujet. C’est aussi le moment de rappeler que, si la plupart de ceux qui, dans le monde, ont du fuir terreur, guerres, tortures, ont trouvés refuge dans les pays les plus pauvres (2 millions de réfugiés syriens dans les pays voisins, moins de 3000 en France), un certain nombre d’entre eux sont venus demander l’asile en France et en Côte d’Or.

Pour une grande partie d’entre eux, ils se voient aujourd’hui refuser le statut de réfugiés, car on exige d’eux une somme de preuves impossibles à fournir comme si les bourreaux délivraient des attestations de leurs crimes. Des personnes qui ont fui des pays soumis à des régimes dictatoriaux ou en proie à la guerre (RDC, Erythrée, Soudan, Somalie,..) se voient délivrer des « obligations de quitter le territoire français » alors même parfois que des certificats médicaux attestent des séquelles de tortures, sévices, viols subis et que la cour européenne des droits de l’homme vient de rappeler les risques encourus en cas de retour.

Ils ont fait confiance à la France, « pays des droits de l’homme », ne les laissons pas être renvoyés à leurs bourreaux.

Les conventions internationales prévoient que l’hébergement des demandeurs d’asile doit être assuré pendant l’examen de leurs dossiers. Cela est loin d’être respecté pour tous et nombre d’entre eux se retrouvent à la rue. Face à cela, et avec le soutien des associations engagées dans la défense des Droits de l’Homme, ils se sont installés dans des bâtiments inoccupés, notamment rue Coty à Dijon afin de bénéficier du minimum d’hébergement que devrait garantir « le droit universel au logement ». Ils en sont menacés d’expulsion à partir de cet été.

Pas de fermeture sans relogement préalable et durable de tous les habitants.

En solidarité avec les victimes de tortures dans le monde et avec ceux qui sont venus chercher refuge en France


Rassemblement 
jeudi 26 juin à 18h 
place François Rude à Dijon

ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière /  Afrane Bourgogne / AMDH-Paris/IDF / Amnesty International / ATMF / ATTAC 21 / AgirABCD / CFDT 21/ CGT 21 / Club Unesco Dijon / CCFD Terre Solidaire / CNT 21 / CSF / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / Fraternité de St François d’Assise / FSU 21 / La Vie Nouvelle / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 / SOS Racisme / SOS Refoulement / Syndicat de la Magistrature / Solidaires 21 / UJFP /  Urgence Solidaire

lundi 19 mai 2014

Les "Entrevues Parisiennes" de la Jeune Chambre Economique de Paris vous invite à un -colloque sur la place des femmes aux postes de décision publique-

 

 

Les "Entrevues Parisiennes" de la Jeune Chambre Economique de Paris 

ont le plaisir de vous inviter à leur évènement :

"colloque sur la place des femmes aux postes de décision publique"



Save the date : Mercredi 4 juin 2014 (Après-midi)
à la Préfecture de Paris et d'Île-de-France
5, rue Leblanc, 75015

(Inscription obligatoire avant le 2 juin. Pièce d'identité demandée à l'entrée de la préfecture.)

Au programme :
(Accueil dès 13h45)

14h15 : Discours de Monsieur le préfet de la région d'Île-de-France, préfet de Paris.
14h30 : Table ronde 1 : "Communication politique : la femme a-t-elle une image à défendre ?"
Avec Edith Cresson, Ancien Premier ministre
Marie Donzel, journaliste-blogueuse Ladies&Gentleman, conseillère en égalité femmes-hommes
Philippe Moreau-Chevrolet, conseiller en communication politique (MCBG Conseil), journaliste (Nouvel Obs, L'express, Canal +)

(et d'autres à venir)
15h45 : Pause gourmande

16h15 : Table ronde 2 : "D’une parité imposée à la réalité de terrain : le quotidien des femmes fonctionnaires"

Avec Hélène Duchêne, experte politico-militaire du Quay d'Orsay, présidente de Femmes et Diplomatie
Myriem Mazodier, directrice de la commission "femmes" des anciens de l'ENA
Nathalie Pilhes, Secrétaire Générale à la Délégation interministérielle à la Méditerranée, auteure de Femmes-hommes, enfin l'égalité ?

(et d'autres à venir)

17h30 : Cocktail


Stéphanie Gastaud
stephaniegastaudjcep@hotmail.fr
Mobile : 06 26 37 66 79


Directrice de la commission "Entrevues Parisiennes"
Jeune Chambre Economique de Paris (JCI Paris)
Le Mouvement des Jeunes Citoyens Entreprenants

www.jce-paris.org
Suivez-nous sur Twitter : JCE_Paris
Et sur Facebook : http://www.facebook.com/jceparis