samedi 28 juillet 2012
Terres maraîchères ? quelques mots ...
dimanche 8 juillet 2012
Expulsion de l'école des Greffes / mise à plat du collectif avec les médias !
Suite à l'Expulsion du squat de l'école des Greffes, ce vendredi 6 juillet a eu lieu une conférence de presse dans les locaux de la Cimade à 10 h 30.
- mise au point
- éclaircissement
- rendez-vous
Etaient présents 4 médias dont un indépendant
LDH ; RESF 21 ; MRAP ; Cimade ; Espace autogéré des Tanneries ; CCFD ; Sos refoulement ; Urgence solidaire ; Club UNESCO ; Action catholique ouvrière ; Agir Abcd ; LVN ; Fraternité Saint François d’Assise
vendredi 6 juillet 2012
Expulsion du squatt de l'école des Greffes : qu'en est-il ?
COMPTE RENDU . . .
Suite de la journée du 2 juillet il en découle ...
volonté de la préfecture de ne pas permettre aux associations d’apporter soutien aux personnes expulsées et de ne pas voir ce qui se passait.
Faire croire aux associations que les personnes ont été relogées
Or certaines conduites en bus à Auxerre, Bourg en Bresse et Macon sont revenues aujourd’hui sur Dijon ,déplorant les conditions matérielles d’accueil .
19 seulement seraient en CADA
114 seraient en hébergement d’urgence
81 ont quitté la caserne Vaillant sans avoir été relogées : Il s’agit de personnes en recours auprès de la CNDA et considérées comme déboutées par la préfecture (recours non suspensif)
Actuellement une vingtaine dort au jardin Darcy, une quinzaine au kiosque de la place Wilson et une centaine à Bertillon.
La surpopulation de Bertillon pose problème : tensions, situations précaires engendrent des situations explosives.
Beaucoup d’angoisse, de stress .. Les pompiers sont déjà intervenus.
En ce qui concerne la procédure de la mairie de Dijon pour le squat Bertillon : expulsion jugée sans avocat avec un délai d’ un mois pour partir après commandement de quitter les lieux .
Une démarche engagée par Me Clémang appelée « tierce opposition » sera jugé le 13 juillet.
Il serait possible que la LDH et le DAL engagent la procédure sachant que parmi les associations présentes aucune n’ait la possibilité de le faire.
Ce matin vendredi 6 juillet a eu lieu une conférence de presse dans les locaux de la Cimade à 10 h 30 .
Un état des lieux a été fait et la vérité rétablie.
Les associations n’ont pas refusé de participer à l’identification des personnes.
Certains bénévoles avaient déjà recensé les occupants et cerné leur situation administrative .
Ils envisageaient de terminer cette semaine.
On ne leur en a pas laissé le temps.
4 représentants se rendront à la préfecture pour une audience jeudi à 17 h .
Sujets abordés :
la liste des personnes relogées
la question de l’ATA pour les 114 à la rue
les 150 à la rue : que faire ?
demander à la préfecture que le délai de convocation soit respecté et réduit à 15 j maxi.
Une mobilisation est envisagée MERCREDI 11 JUILLET à partir de 19 H Place de la Libération afin de demander un relogement décent pour les personnes expulsées.
Des tracts seront distribués et la mobilisation annoncée lors du cercle de silence de Mardi 10 juillet .
A noter parmi les associations citées outre les Restos du cœur, le Secours populaire, la toute nouvelle association Tends la Main .
Composantes du collectif : LDH ; RESF 21 ; MRAP ; Cimade ; Espace autogéré des Tanneries ; CCFD ; Sos refoulement ; Urgence solidaire ; Club UNESCO ; Action catholique ouvrière ; Agir Abcd ; LVN ; Fraternité Saint François d’Assise
mardi 3 juillet 2012
Expulsion du squat de l’ancien internat de l’école nationale des Greffes
En effet, le sénateur-maire a pris un arrêté municipal à la demande de la préfecture de Région, permettant l’évacuation complète du bâtiment avant l'échéance initiale prévue par le tribunal administratif, fixée au 15 juillet.
Selon lui, il s'agirait de la "seule mesure efficace, nécessaire, proportionnée et sûre" pour répondre à l’engorgement du squat. Cette "urgente nécessité d’intervenir" dans un lieu concerné par "des problèmes de sécurité et d’hygiène" se présente pourtant près de dix mois après l’arrivée importante de demandeurs d’asile sur le sol dijonnais, et plus de six mois après l’occupation du bâtiment vide.
Depuis novembre 2011, la Coordination réfugiés de Dijon - un collectif d'une vingtaine d'associations défendant le droit des demandeurs d'asile -, appelait l’Etat à prendre ses responsabilités et à assurer son obligation de relogement.
En vain. Aujourd’hui, le nouveau gouvernement en place, après avoir promis de répondre humainement et plus rapidement à la crise, semble tendre l’oreille du côté de Dijon. "J’ai parlé tout à l’heure avec le ministre de l’Intérieur...", glisse François Rebsamen aux médias, lors du point presse qui s'est tenu lundi 2 juillet.- (Dijonscope – 3.07.2012-)
Si un certain nombre de réfugiés ont été répartis dans les cadas d'autres départements, plus d'une centaine restent sur le pavé.
Les demandeurs d'asile avaient jusqu'au 15 juillet pour rester au bâtiment des greffes; ils ont été expulsés hier lundi, bien sûr pour éviter les protestations des associations qui les soutenaient et les aidaient face à la carence de l'administration préfectorale. Elles devaient être reçues le 5 avec pour but de trouver des solutions humaines pour TOUS.
Source
http://allaingraux.over-blog.com/article-securite-socialiste-a-dijon-107718773.html
Nous exprimons toute notre solidarité et dénonçons toute expulsion abusive et/ou non respectueuse des démarches entamées par nos collectifs et organismes de soutien ne cessant de se déployer afin de trouver les solutions les plus justes dans les délais impartis.
Collectif solidarité militants21