Rassemblement à Dijon pour les droits des femmes
mardi 8 mars 18H00
Place de la Libération
mardi 8 mars 18H00
Place de la Libération
Ce 8 mars 2011, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, n'est pas un 8 mars comme les autres.
C'est un 8 mars porteur d’espoir venu du Sud.
Un Sud en marche revendiquant la dignité, la liberté et l’égalité.
En Tunisie et en Egypte,les femmes étaient présentes dès les premiers jours et ont, nombreuses et résolues, participé à ce bouleversement.
Partout ailleurs de par le monde, les femmes continuent à se mobiliser, à se battre contre des régimes autoritaires et tortionnaires, contre des sociétés machistes, et rétrogrades.
Elles se battent pour leur autonomie et pour qu’il soit mis fin aux discriminations dont elles sont l’objet.
Ce combat est le nôtre.
Les Tunisiennes revendiquent la consécration de l’égalité des droits dans la constitution, l’instauration de la laïcité, la levée des réserves émises lors de la ratification de la CEDAW, et la réforme du droit de la famille inégalitaire (notamment en matière d’héritage).
Les Egyptiennes veulent l’abrogation du code du statut personnel, la mise en place d’un Etat laïc et leur participation à la commission pour la réforme de la constitution.
Les Algériennes veulent l'égalité des droits et sont partie prenante des aspirations et des revendications pour un Etat de droit : rétablissement des libertés individuelles et collectives,travail et justice sociale. Elles demandent l'abrogation du code de la famille et veulent des lois civiles égalitaires.
Les Iraniennes veulent l’abrogation du code de la famille et de toutes les lois discriminatoires à l’encontre des femmes, l’égalité des droits dans la constitution, la ratification de la CEDAW et un Etat laïc.
Les Afghanes appellent au respect de la Constitution de l'Afghanistan (malgré ses lacunes) qui garantit et favorise la place des femmes, aujourd'hui premières victimes de la corruption et de la pauvreté. Elles refusent toute négociation avec les Talibans, frein à la démocratisation et à la stabilité du pays.
En France, les rapports de domination hommes/femmes sont toujours à l’oeuvre.
- Pour le droit à l’avortement et la contraception menacés par la casse de l’hôpital public
- les violences faites aux femmes, pour le respect du droit d'asile pour les femmes persécutées, Pour une véritable lutte contre la lesbophobie, le sexisme, le racisme et toutes les formes de discrimination dont sont victimes les femmes, pour une véritable politique d’éducation à l’égalité
Nos luttes sont communes et nos aspirations se rejoignent : qu’on vive à Tunis, Kaboul, Rome ou Varsovie, Kinshasa ou Paris, les combats pour l’EGALITE, la LIBERTE et la DIGNITE nous réunissaient hier et nous rassemblent aujourd’hui.
Partout dans le monde des femmes font entendre leur voix pour revendiquer la dignité, l’égalité et la liberté.
C'est un 8 mars porteur d’espoir venu du Sud.
Un Sud en marche revendiquant la dignité, la liberté et l’égalité.
En Tunisie et en Egypte,les femmes étaient présentes dès les premiers jours et ont, nombreuses et résolues, participé à ce bouleversement.
Partout ailleurs de par le monde, les femmes continuent à se mobiliser, à se battre contre des régimes autoritaires et tortionnaires, contre des sociétés machistes, et rétrogrades.
Elles se battent pour leur autonomie et pour qu’il soit mis fin aux discriminations dont elles sont l’objet.
Ce combat est le nôtre.
Les Tunisiennes revendiquent la consécration de l’égalité des droits dans la constitution, l’instauration de la laïcité, la levée des réserves émises lors de la ratification de la CEDAW, et la réforme du droit de la famille inégalitaire (notamment en matière d’héritage).
Les Egyptiennes veulent l’abrogation du code du statut personnel, la mise en place d’un Etat laïc et leur participation à la commission pour la réforme de la constitution.
Les Algériennes veulent l'égalité des droits et sont partie prenante des aspirations et des revendications pour un Etat de droit : rétablissement des libertés individuelles et collectives,travail et justice sociale. Elles demandent l'abrogation du code de la famille et veulent des lois civiles égalitaires.
Les Iraniennes veulent l’abrogation du code de la famille et de toutes les lois discriminatoires à l’encontre des femmes, l’égalité des droits dans la constitution, la ratification de la CEDAW et un Etat laïc.
Les Afghanes appellent au respect de la Constitution de l'Afghanistan (malgré ses lacunes) qui garantit et favorise la place des femmes, aujourd'hui premières victimes de la corruption et de la pauvreté. Elles refusent toute négociation avec les Talibans, frein à la démocratisation et à la stabilité du pays.
En France, les rapports de domination hommes/femmes sont toujours à l’oeuvre.
Force est de constater les inégalités dont les femmes sont l’objet.
Elles continuent
à
se battre ...
- Pour l’égalité des salaires, la mixité de l’emploi et la régularisation de toutes les travailleuses sans papiers, contre le travail partiel imposé et la précarisation : 80 % des salariés qui vivent avec 750 € par mois sont des femmes .à
se battre ...
- Pour le droit à l’avortement et la contraception menacés par la casse de l’hôpital public
- les violences faites aux femmes, pour le respect du droit d'asile pour les femmes persécutées, Pour une véritable lutte contre la lesbophobie, le sexisme, le racisme et toutes les formes de discrimination dont sont victimes les femmes, pour une véritable politique d’éducation à l’égalité
Nos luttes sont communes et nos aspirations se rejoignent : qu’on vive à Tunis, Kaboul, Rome ou Varsovie, Kinshasa ou Paris, les combats pour l’EGALITE, la LIBERTE et la DIGNITE nous réunissaient hier et nous rassemblent aujourd’hui.
Partout dans le monde des femmes font entendre leur voix pour revendiquer la dignité, l’égalité et la liberté.
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rendez-vous le mardi 8 mars
18H00
Place de Libération
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