"ASSEMBLEE CITOYENNE"
SUR LE QUARTIER BOURROCHES VALENDONS
LE 9 FEVRIER
Communiqué
SUR LE QUARTIER BOURROCHES VALENDONS
LE 9 FEVRIER
Communiqué
C’était la deuxième rencontre de l’Assemblée citoyenne du quartier Bourroches Valendons.
Une quinzaine de participants dont des militants du PCF, de Solidarités21 et sept personnes intéressées par le Front de Gauche, certains en avaient eu connaissance par l’invitation diffusée dans le quartier, par des militants ou par le site Internet « Place au peuple ».
Isabelle De Almeida après avoir dit quelques mots d’accueil a proposé à chacun(e) d’exprimer ce qu’il (elle) attendait comme changement, « ce que devra faire la gauche ».
Les questions d’urgence sociale : la santé, le chômage, le pouvoir d’achat, les loyers trop chers ont été au coeur du débat et tout le monde était d’accord pour dire que la gauche devra agir tout de suite pour que les gens, les plus modestes puissent sortir la tête de l’eau, et faire reculer la précarité, la pauvreté qui touchent de plus en plus de personnes (les jeunes notamment).
Les services publics, tant attaqués ont besoin d’être au coeur des actes que la gauche devra produire.
Un enseignant, un postier, un agent de France Télécom, des cheminots, une traminote, une infirmière du CHU de Dijon, tous ont parlé de leur travail, de plus en plus difficile, mal considéré. Il faut arrêter « cette politique de culpabilisation du personnel du CHU » et stopper « l’hémorragie des postes à l’hôpital et ailleurs aussi »…
Un témoignage émouvant et fort de cette infirmière syndicaliste (40 ans de travail à l’hôpital).
Et puis, ce fut sur chaque point évoqué, une présentation des propositions du Front de gauche, de son programme.
Le vote utile : « comment on s’explique pour faire voter Front de gauche aux hésitants entre Hollande et Mélenchon ? « demande une participante. Et là, les arguments arrivent à la pelle.
C’est aussi, les arguments pour dégonfler le vote Le Pen, demandés par un jeune salarié du privé. Beaucoup évoquent le dynamisme de la campagne (certains suivent les meetings sur Internet, d’autres y ont participé).
« On a envie d’y croire » dira Malika, « il faut créer de l’espoir » pour que les gens se mobilisent pendant la campagne, aux deux élections et après les législatives. Et si le Front de gauche a un groupe important à l’Assemblée nationale,incontournable : ça changera les choses dans l’hémicycle pour les luttes.
Oui des luttes, des mobilisations, il en faudra après le mois de juin, pour se battre contre les rapaces de la finance.
Ce fut un bon moment d’échanges, d’expériences, d’arguments et de prises de contacts pour continuer la campagne. Des argumentaires sur la crise et sur le Front national ont été donnés et quelles programmes « L’humain d’abord » vendus.
Isabelle De Almeida a invité les uns et les autres, à participer à la mobilisation pour faire voter Front de gauche aux 2 élections.
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